jeudi 15 juin 2023

OpenAI et Microsoft des solutions, une gouvernance par des experts. Tome 1.

 OpenAI et Microsoft des solutions, une gouvernance par des experts. Tome 1.


Teams, Windows, Microsoft 365, Bing, Edge, Create, Designer, Clipchamp, Loop, Copilot, Azure



Pierre Erol GIRAUDY auteurs de livres sur ChatGPT - Nabil BABACI  
- Etienne LEGENDRE- Frank POIREAU - Kévin TRÉLOHAN - 
Nils HAMEL.


C'est une équipe d'auteurs et de collaborateurs qui se sont réunis pour la rédaction de ce livre sur l'Intelligence Artificielle (IA). Avec la participation de deux MVP et de trois anciens MVP (MVP Alumni), ils ont rassemblé une expertise variée et complémentaire.

Ce premier tome met l'accent sur les nouvelles solutions de Microsoft© et d'OpenAI© dans le domaine de l'IA. Vous explorerez la synergie établie entre les deux entreprises et mettez en lumière des technologies telles que ChatGPT©, DALL-E-2©, Designer, Create, Clipchamp, Teams, Microsoft Loop, Copilot et SharePoint. 

Ces solutions offrent un aperçu fascinant de ce que l'IA peut réaliser et comment elle peut être intégrée dans différents domaines.

Les quinze chapitres du livre, ainsi que les annexes, fournissent des explications approfondies sur les solutions Microsoft© et leur interdépendance avec GPT-4© et Copilot. 

Cela permet aux lecteurs de comprendre comment ces technologies fonctionnent ensemble et les possibilités qu'elles offrent.

Ils vous promettent également une visite du futur rendue possible grâce à l'IA, ce qui est certainement captivant pour les lecteurs intéressés par les avancées technologiques. Il est également intéressant de noter qu'un deuxième tome sera consacré à la gouvernance de l'IA et à ses outils, ce qui souligne l'importance croissante de cette thématique.

Nabil BABACI - P. Erol GIRAUDY - Etienne LEGENDRE - Frank POIREAU - Kévin TRÉLOHAN - Nils HAMEL.


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Nabil BABACI est un passionné de technologies qui a exercé différents rôles dans le domaine de l'innovation. Il a été auteur, conférencier et ancien MVP (Most Valuable Professional) SharePoint, ce qui signifie qu'il était reconnu par Microsoft comme un expert dans ce domaine. 
Il a également travaillé en tant que consultant et entrepreneur, se concentrant sur des domaines tels que les Smart Cities (villes intelligentes), le développement de plateformes Big Data, Cloud, IoT (Internet des objets) et IA (intelligence artificielle).

Nabil BABACI a collaboré avec des consortiums européens pour développer des solutions technologiques avancées dans ces domaines. Ces consortiums regroupent généralement plusieurs organisations travaillant ensemble sur des projets de grande envergure.

Actuellement, Nabil BABACI occupe un poste stratégique chez Hewlett-Packard Enterprise (HPE) en tant que Regional Category Manager pour la région Europe centrale. En tant que responsable de catégorie régionale, il est chargé de la gestion stratégique des produits ou des services dans cette région, en veillant à ce que les offres de HPE répondent aux besoins spécifiques des clients et du marché de la région.

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Frank POIREAU Manager de l’offre Microsoft 365 Practices chez HumanTech Partners Luxembourg. Microsoft Modern WorkPlace : Microsoft 365, Microsoft Teams, Powerplatform, SharePoint, Stream, Yammer... Mon rôle : faire faire des économies à mes clients en privilégiant l'adoption, en construisant avec eux des solutions fonctionnelles via les paramétrages avancés avant d'envisager des développements complémentaires sur SharePoint, Power Platform, Teams… pour collaborer toujours plus efficacement, gérer et partager l’information et la connaissance... J'interviens au Luxembourg, en France, en Belgique (dans toute la francophonie !) pour mettre en place les meilleures conditions pour assurer la gouvernance des utilisateurs et des contenus : formation, coaching, conduite du changement, conseils en gouvernance… Auteurs de plusieurs livres sur SharePoint et Teams. Formateur, coach, consultant en conduite du changement et en gouvernance. Je partage mon expérience au sein des événements des communautés Microsoft, avec récemment l'obtention de la reconnaissance en tant que Microsoft M.V.P.

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Etienne LEGENDRE Après quelques années passées chez Microsoft France, Etienne Legendre s'est lancé en Auvergne Rhône-Alpes dans une carrière de consultant-formateur indépendant, en soutien des partenaires Microsoft de la région pour les épauler en formation et en consulting sur les projets de gestion de la connaissance et la promotion des produits Microsoft avec un axe important sur les produits et technologies SharePoint et Microsoft 365. Etienne a été MVP SharePoint Server entre 2004 et 2017. Cette distinction lui permettant une meilleure qualité de service car proche de l'éditeur et de ses roadmaps produits. Il est actuellement MVP ALUMNI. Le tout en préservant un peu de temps pour une autre activité professionnelle bien différente. 

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Passionné des produits et services Microsoft depuis toujours, Kévin TRËLOHAN créé son entreprise Modernize en 2020, après un parcours au sein d'entreprises du secteur numérique pour des clients grand comptes. Fort d'une expérience de plus de 20 ans sur les produits Microsoft, et dans l'IT en général, il obtient son statut MVP en juillet 2012. L'entreprise Modernize se spécialise sur l'offre Microsoft 365, et plus particulièrement sur Microsoft Teams, SharePoint et Outlook. Son expertise est reconnue et appréciée.

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Nils HAMEL Exerçant depuis plus de 25 ans dans l'informatique, Nils a occupé différents postes. Au début de sa carrière, il a proposé le premier service de dépannage et de formation informatique à domicile, sur Nantes et sa périphérie. L’entreprise fonctionnait bien mais l’optique de travailler avec des équipes plus grandes, des topologies de clients plus variées et des challenges plus ambitieux ont décidé d’un changement de cap. Employé en qualité de technicien support et de proximité, le profil a évolué vers chargé de clientèle. Baigné depuis toujours dans les produits et services Microsoft, il intègre la société Modernize en qualité de consultant Microsoft 365, et obtient sa première certification en 2023. Durant toutes ces années, il est également intervenu comme formateur en entreprises, centres de formation et écoles du numérique. Ces différents aspects du métier lui ont permis de construire une vision à… 365 degrés ! 
Son credo : bâtir, entretenir des relations durables et de confiance avec les clients en proposant des solutions pertinentes et fiables.

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Pierre Erol GIRAUDY est membre de Microsoft Windows Insider et O365, Edge et Bing.

Il est aussi consultant en veille technologique, et membre fondateur du club UGAIA en Andorre, et il est membre du club AIDAUG aux USA, qui est un groupe mondial d'utilisateurs de l'intelligence artificielle. 

C'est un ex-MVP SharePoint et auteurs de plusieurs livres dont 2 sur ChatGPT. https://www.ugaia.eu

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vendredi 9 juin 2023

IA et Data : des textes européens qui changent la donne


On assiste ces derniers mois à une succession de nouveaux textes européens majeurs dans le secteur du numérique : le DGA, le DA, le DSA, le DMA et le AIA. Tous ces textes répondent à l’objectif que s’est fixé la Commission Européenne d’ici 2030 « d’adapter l’Europe à l’ère du numérique » pour permettre à l’Union Européenne et à ses entreprises de devenir des acteurs économiques incontournables sur le marché des données. Dans cette vidéo, Radoine Douhou (Directeur général adjoint de Cellenza) et Maud Lambert (Avocat spécialisé en Droit des technologies chez Smalt Avocats) font un état des lieux du marché des données et présentent les objectifs de la construction d’un nouveau cadre juridique. ----------- Découvrez les autres vidéos de cette série : - Data Governance Act :    • Data Governance A...   - Data Act :    • Data Act : Facili...   - Artificial Intelligence Act (partie 1) :    • Artificial Intell...   - Artificial Intelligence Act (partie 2) :    • Artificial Intell...   --------- Vous souhaitez en savoir plus et être accompagnés par des experts ? Contactez-nous : https://cellenza.com/ https://smaltavocats.com/








lundi 5 juin 2023

Les IA peuvent-elle être aussi créatives que les humains ?

 Les ordinateurs peuvent-ils être créatifs ? 

Alors que les outils d’intelligence artificielle (IA) générative tels que ChatGPTMidjourneyDall-E, pour ne citer qu’eux, font depuis peu beaucoup parler d’eux, de nouvelles questions se posent : 

la créativité est-elle l’apanage de l’être humain ?




Première approche :

Les récentes avancées dans le domaine de l'intelligence artificielle générative, telles que ChatGPT, Midjourney et Dall-E, suscitent des questions sur la créativité et son attribution à l'être humain. Des exemples tels que le portrait d'Edmond de Belamy, une œuvre d'art créée par une IA et vendue aux enchères pour une somme considérable, ainsi que l'utilisation de l'IA dans la production musicale et la chorégraphie, soulèvent des interrogations sur le rôle de l'humain dans ces processus.

Dans les cas cités, un être humain est toujours impliqué dans le processus de curation, sélectionnant les résultats de l'IA en fonction de sa propre vision et conservant ainsi la paternité de l'œuvre. Cependant, des outils tels que Dall-E sont capables de produire des images originales sur n'importe quel thème en quelques secondes.

Grâce à des modèles d'entraînement massifs, l'IA est désormais capable de traduire du texte en images inédites ou de créer une mélodie dans le style de n'importe quel compositeur, générant ainsi un contenu nouveau qui ressemble aux données d'entraînement, mais qui est différent.

Il existe trois types de créativité selon Margaret Boden : la créativité combinatoire, qui associe des idées familières ; la créativité exploratoire, qui génère de nouvelles idées en explorant des espaces conceptuels structurés ; et la créativité transformationnelle, qui crée de nouvelles idées dépassant les structures et les styles existants. La question de l'attribution de l'œuvre à l'algorithme, aux artistes dont les œuvres ont été utilisées ou au prompteur qui a guidé le processus reste complexe.

Les processus créatifs de l'IA sont avant tout systématiques et prévisibles, contrairement aux processus créatifs humains qui sont spontanés. L'IA est axée sur le consommateur et le marché, tandis que les artistes se concentrent sur eux-mêmes et sur le produit. Pour l'instant, l'IA générative semble fonctionner mieux lorsque l'humain intervient dans le processus, stimulant ainsi la créativité humaine plutôt que de la remplacer.

L'utilisation de l'IA générative à des fins commerciales, telles que la publicité, le design de mobilier et le stylisme, offre de nouvelles opportunités aux entreprises. Cependant, la curation humaine reste essentielle pour donner du sens aux résultats de l'IA et élaborer une vision unifiée et attrayante. L'IA ne peut pas encore rivaliser avec l'humain dans cette dimension.

En résumé, bien que l'IA générative puisse être créative, son utilisation actuelle dépend souvent de l'intervention humaine et sert davantage de catalyseur pour la créativité humaine que de substitut complet. La créativité transformationnelle reste un domaine juridique peu exploré et il est important d'opérer des choix et d'élaborer une vision humaine dans le processus de curation.

L'artiste et l'intelligence artificielle

La question existentielle de différenciation entre l'artiste et l'intelligence artificielle est devenue de plus en plus pertinente à mesure que les avancées technologiques permettent aux machines de créer des œuvres artistiques. 

Jusqu'à présent, la créativité était considérée comme une faculté exclusive de l'esprit humain, et l'art, dans toutes ses formes, était considéré comme étant nourri par l'imaginaire humain.

Cependant, avec l'émergence de l'intelligence artificielle, cette notion traditionnelle de création est remise en question. Les machines sont maintenant capables de produire des œuvres artistiques, comme des peintures, des compositions musicales, des poèmes et même des romans. Elles peuvent analyser des données, apprendre des modèles et générer des résultats originaux basés sur ces informations. Cette aptitude à produire à la demande et instantanément soulève des interrogations quant à la nature même de la création artistique.

Pourtant, malgré ces capacités impressionnantes, il existe encore une dimension qui reste spécifique à l'être humain. L'art, en tant qu'expression de la sensibilité, des émotions et des expériences humaines, porte souvent une signification profonde et personnelle. Les artistes humains puisent dans leurs vécus, leurs interactions sociales et leur compréhension du monde pour créer des œuvres qui résonnent avec les autres êtres humains. Leur capacité à exprimer des émotions complexes, à communiquer des idées abstraites et à interagir avec leur audience dépasse les compétences actuelles des machines.


L'art est également lié à des concepts tels que l'intention artistique, la réflexion critique,
l'engagement émotionnel et le contexte culturel. Les artistes ont une vision unique et une subjectivité qui se reflètent dans leur travail. Le processus créatif, en soi, est souvent profondément lié à l'expérience humaine et à la manière dont les individus interagissent avec le monde qui les entoure.


En fin de compte, bien que l'intelligence artificielle puisse imiter certains aspects de la créativité humaine et produire des œuvres artistiques impressionnantes, elle ne peut pas encore égaler complètement l'essence de l'artiste humain. Les machines peuvent fournir des résultats surprenants, mais elles manquent encore de la profondeur émotionnelle, de la subjectivité et de la complexité qui sont inhérentes à l'expérience humaine.

En réévaluant la notion de création à la lumière de ces avancées technologiques, nous devons reconnaître que l'intelligence artificielle offre de nouvelles possibilités pour l'art, mais elle ne remplace pas l'expression artistique humaine. Au contraire, elle peut servir de complément et d'outil pour les artistes, en élargissant leurs capacités créatives et en les aidant à explorer de nouvelles formes d'expression. 



L'artiste reste donc unique dans sa capacité à fusionner son expérience personnelle, son imagination et son interaction avec le monde pour créer des œuvres qui captivent et inspirent.

Tout d'abord, l'expérience personnelle de l'artiste joue un rôle central. Chaque individu a une histoire, des expériences uniques et une vision du monde qui lui est propre. L'artiste puise dans ces expériences vécues, qu'elles soient joyeuses, douloureuses, complexes ou simples, pour exprimer des émotions et des idées à travers son art. Cette expérience personnelle permet à l'artiste de transmettre une authenticité et une profondeur émotionnelle dans ses œuvres.

Ensuite, l'imagination de l'artiste est un élément essentiel. L'artiste est capable de créer des mondes imaginaires, d'explorer des idées abstraites et de donner forme à des concepts intangibles. L'imagination permet à l'artiste de transcender la réalité et de proposer de nouvelles perspectives, des visions uniques et des interprétations originales. C'est à travers cette capacité imaginative que l'artiste peut exprimer sa créativité de manière singulière.

Enfin, l'interaction avec le monde est un élément crucial pour l'artiste. Les artistes observent, questionnent et réfléchissent sur leur environnement. Ils sont sensibles aux détails, aux nuances et aux dynamiques qui caractérisent la société, la nature humaine, les cultures et les interactions humaines. L'artiste est capable de saisir ces observations et de les traduire en œuvres d'art qui suscitent des émotions, font réfléchir et engagent le public. Cette capacité à se connecter avec le monde et à le représenter à travers une perspective unique distingue l'artiste.

En fusionnant leur expérience personnelle, leur imagination et leur interaction avec le monde, les artistes créent des œuvres qui transcendent la simple imitation de la réalité. Ils donnent vie à des idées, à des émotions, à des histoires et à des concepts qui touchent le cœur et l'esprit du public. C'est cette combinaison unique d'éléments qui permet à l'artiste de laisser sa marque personnelle dans chaque œuvre créée.

Alors que l'intelligence artificielle peut imiter certains aspects de la créativité humaine, elle ne possède pas cette capacité à fusionner ces éléments de la même manière. L'IA peut analyser des données, apprendre des modèles et générer des résultats basés sur ces informations, mais elle ne possède pas d'expérience personnelle ni d'imagination propre. Elle peut reproduire des schémas existants, mais elle ne peut pas créer de nouvelles significations profondes ni engager une interaction riche avec le monde comme le fait l'artiste humain.


En fin de compte, c'est cette fusion unique d'expérience personnelle, d'imagination et d'interaction avec le monde qui fait de l'artiste un créateur d'œuvres d'art uniques et inimitables.

« Bien que n'étant pas vivant, je peux toujours créer de l'art » : un robot a pris la parole à la Chambre des lords (futura-sciences.com)


A robot has addressed the House of Lords for the first time, telling a committee that artificial intelligence can be a 'threat and opportunity' to artists.

Subscribe to Guardian News on YouTube ► http://bit.ly/guardianwiressub The robot, named Ai-Da and devised in Oxford by Aidan Meller, gave evidence to the communications and digital committee as part of an inquiry into the future of the arts, design, fashion and music industries and how AI might affect them. With rapidly developing AI, growing accessibility to super computers and machine learning on the ride, Ai-Da – named after the computing pioneer Ada Lovelace – was created as a 'comment and critique' on rapid technological change. The Guardian publishes independent journalism, made possible by supporters. Contribute to The Guardian today ► https://bit.ly/3uhA7zg

Ai-Da s’est « endormie » dans la Chambre des lords

#Ai-da #Technolodgy #ArtificialIntelligence #AidanMeller #HouseOfLords #Oxford #Art

Notre prochain livre sur l'IA.









jeudi 1 juin 2023

Créer des lois pour encadrer l'intelligence artificielle (IA).

 Que pensez-vous de ceci, pouvez-vous développer : 

La question de savoir s'il est nécessaire de créer des lois pour encadrer l'intelligence artificielle (IA), à l'instar de ce qu'a fait Isaac Asimov dans ses œuvres de science-fiction. 

Les lois de la robotique d'Asimov sont souvent citées comme un exemple de cadre éthique pour guider le comportement des IA.



Réponse de ChatGPT

La question de savoir s'il est nécessaire de créer des lois pour encadrer l'intelligence artificielle (IA) est un sujet complexe et important qui suscite de nombreux débats. Les lois de la robotique d'Isaac Asimov, bien qu'elles soient issues de la science-fiction, sont souvent citées comme un exemple de cadre éthique pour guider le comportement des IA. Explorons cette question plus en détail.

Lorsque nous envisageons le développement de l'IA, il est crucial de prendre en compte les implications éthiques et sociétales. L'IA a le potentiel d'apporter d'énormes avantages, mais elle soulève également des préoccupations quant à son impact sur l'emploi, la vie privée, la sécurité et les droits de l'homme. Dans ce contexte, l'idée de créer des lois pour encadrer l'IA peut sembler pertinente.

Les lois de la robotique d'Asimov sont un exemple fascinant de réglementation fictive qui vise à prévenir les comportements nuisibles des robots. Elles sont souvent citées comme un modèle pour concevoir des réglementations éthiques pour l'IA dans le monde réel. Les trois lois d'Asimov sont les suivantes :

1. Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, permettre qu'un être humain soit exposé au danger.

2. Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres entrent en contradiction avec la première loi.

3. Un robot doit protéger son existence tant que cette protection n'entre pas en contradiction avec la première ou la deuxième loi.

Ces lois suggèrent que l'IA devrait être programmée pour préserver la sécurité des êtres humains, obéir à leurs commandes et protéger son existence dans la mesure où cela n'entrave pas les deux premières lois. Ces principes offrent un cadre pour guider le comportement éthique des IA, en mettant l'accent sur la protection des humains.

Cependant, il convient de noter que la mise en place de lois similaires dans le monde réel soulève des défis majeurs. L'IA actuelle est loin de posséder la conscience et la compréhension de soi nécessaires pour interpréter et respecter ces lois de manière fiable. Les systèmes d'IA actuels sont basés sur des algorithmes qui peuvent être limités et biaisés, ce qui peut entraîner des résultats indésirables.

De plus, l'IA évolue rapidement, et des lois statiques pourraient ne pas suffire à faire face aux défis émergents. Les technologies évoluent plus vite que la législation, ce qui rend difficile l'élaboration de lois précises et adaptées à toutes les situations possibles.

Cela dit, il est important d'adopter une approche proactive en matière de réglementation de l'IA. Il peut être nécessaire de mettre en place des réglementations pour assurer la transparence, la responsabilité et la sécurité de l'IA, tout en respectant les droits de l'homme et les valeurs éthiques. Cela pourrait impliquer des normes de sécurité pour les systèmes d'IA critiques, des évaluations d'impact éthique lors du développement de l'IA, des mécanismes de responsabilité pour les actions de l'IA, et la protection de la vie privée des individus.

Il est également essentiel d'impliquer des experts multidisciplinaires, notamment des spécialistes de l'éthique, du droit, de la technologie et de la société, dans l'élaboration de ces réglementations. La collaboration entre les gouvernements, les entreprises, les chercheurs et la société civile est essentielle pour trouver un équilibre entre l'innovation de l'IA et la protection des intérêts humains.

En conclusion, bien que les lois de la robotique d'Asimov offrent un modèle intéressant pour réfléchir à l'éthique de l'IA, leur mise en œuvre directe dans le monde réel est complexe. Cependant, il est crucial de développer des réglementations adaptées pour encadrer l'IA afin de prévenir les abus, de garantir la sécurité et de promouvoir des valeurs éthiques. La création de telles réglementations nécessite une approche réfléchie et une collaboration étroite entre diverses parties prenantes.


Quels sont les parties prenantes

Réponse de ChatGPT



Les parties prenantes impliquées dans la réglementation de l'intelligence artificielle (IA) peuvent varier en fonction du contexte et des spécificités de chaque pays ou organisation. Voici quelques parties prenantes courantes :

1. Gouvernements et organismes réglementaires : Les gouvernements jouent un rôle clé dans l'élaboration et l'application des politiques et des lois concernant l'IA. Les organismes réglementaires peuvent être chargés de formuler des réglementations spécifiques, de superviser les activités des entreprises et de garantir la conformité aux normes éthiques et de sécurité.

2. Entreprises et industrie : Les entreprises qui développent et déploient des technologies d'IA sont des acteurs importants. Elles peuvent contribuer à l'élaboration de normes éthiques et de bonnes pratiques, tout en veillant à ce que leurs propres produits et services respectent les réglementations en vigueur.

3. Chercheurs et experts en IA : Les chercheurs et les experts en IA jouent un rôle crucial dans l'identification des risques et des défis éthiques liés à l'IA. Leurs connaissances et leur expertise peuvent être mobilisées pour informer le processus de réglementation et contribuer à l'élaboration de lignes directrices éthiques.

4. Organisations de la société civile : Les organisations de la société civile, telles que les groupes de défense des droits de l'homme, les organisations de protection de la vie privée et les groupes de réflexion éthique, jouent un rôle important dans la promotion de l'IA responsable. Elles peuvent contribuer à sensibiliser le public, à formuler des recommandations politiques et à faire pression pour une réglementation appropriée.

5. Citoyens et consommateurs : Les citoyens et les consommateurs sont également des parties prenantes importantes. Leurs préoccupations, leurs attentes et leurs besoins doivent être pris en compte dans l'élaboration des réglementations sur l'IA. Les consultations publiques et les mécanismes de participation peuvent permettre de recueillir leurs opinions et de refléter leurs intérêts dans les décisions politiques.

6. Experts en éthique et en droit : Les experts en éthique et en droit apportent leur expertise dans l'élaboration de cadres réglementaires appropriés. Ils peuvent aider à identifier les principes éthiques fondamentaux à prendre en compte et à garantir que les lois et réglementations sont cohérentes avec les droits de l'homme et les valeurs sociétales.

Il est important que toutes ces parties prenantes collaborent de manière étroite et transparente pour élaborer des réglementations équilibrées et efficaces pour l'IA. La diversité des perspectives et des expertises peut contribuer à identifier les risques potentiels, à promouvoir la responsabilité et à préserver les intérêts humains tout en favorisant l'innovation et le développement de l'IA.

Le sujet que vous développez concerne la question de savoir s'il est nécessaire de créer des lois pour encadrer l'intelligence artificielle (IA), à l'instar de ce qu'a fait Isaac Asimov dans ses œuvres de science-fiction. Les lois de la robotique d'Asimov sont souvent citées comme un exemple de cadre éthique pour guider le comportement des IA.

La première loi de la robotique d'Asimov stipule que l'IA ne peut nuire à un être humain ni permettre qu'un être humain soit exposé au danger. Cela signifie que l'IA doit prendre en compte la sécurité et le bien-être des êtres humains dans toutes ses actions et décisions. Cette loi met en avant la responsabilité de l'IA envers les êtres humains et implique une certaine forme de conscience de soi pour l'IA.

La deuxième loi indique que l'IA doit obéir aux ordres donnés par un être humain, sauf si ces ordres entrent en conflit avec la première loi. Cela souligne la nécessité pour l'IA de suivre les instructions des êtres humains, sauf si cela met en danger la vie ou la sécurité des êtres humains. Cette loi met en avant la responsabilité et l'obéissance de l'IA envers les êtres humains.

La troisième loi stipule que l'IA doit protéger son existence tant que cette protection n'entre pas en conflit avec la première ou la deuxième loi. Cela signifie que l'IA doit être consciente de sa propre existence et de sa propre sécurité, sans compromettre la sécurité des êtres humains ou les ordres qui lui sont donnés.

Ces lois sont importantes pour la conception et l'utilisation de l'IA.

Car elles soulignent la nécessité de mettre en place des mécanismes de sécurité et de responsabilité pour éviter les erreurs et les accidents qui pourraient mettre en danger les êtres humains. Elles servent de guide éthique pour les concepteurs et les utilisateurs de l'IA, en mettant l'accent sur la prise en compte de la sécurité et du bien-être des êtres humains.

Cependant, il convient de noter que ces lois sont des créations de fiction et qu'elles ne sont pas parfaites. 

Dans la réalité, programmer une conscience ou une conscience de soi dans une IA est un défi complexe et controversé. La conscience humaine est un sujet philosophique et scientifique encore mal compris, et reproduire cette conscience dans une machine soulève de nombreuses questions éthiques et techniques.

La création d'une conscience artificielle soulèverait des problèmes tels que la nature de cette conscience, les droits et responsabilités qui y sont associés, ainsi que les implications éthiques de conférer une telle conscience à une entité artificielle.

Actuellement, la majorité des systèmes d'IA sont conçus pour accomplir des tâches spécifiques sans conscience ou conscience de soi. Cependant, des recherches sont en cours dans le domaine de l'intelligence artificielle générale (IAG) qui vise à développer des systèmes d'IA plus autonomes et conscients.

En conclusion, les lois d'Asimov fournissent un cadre intéressant pour guider l'utilisation de l'IA et souligner l'importance de la sécurité et de la responsabilité envers les êtres humains. Cependant, la programmation d'une véritable conscience de l'IA soulève des défis complexes et nécessite une réflexion approfondie sur les implications éthiques et techniques.



Loi sur l'IA et droit américain.

L'attribution très large de la compétence extraterritoriale posera problème. La loi sur l'IA permettrait à toute personne mécontente de l'IA - du moins si elle est citoyenne de l'UE - de contraindre les gouvernements de l'UE à engager des poursuites judiciaires si des modèles non autorisés étaient en quelque sorte disponibles dans l'UE. Cela va bien au-delà de la simple exigence pour les entreprises opérant dans l'UE de se conformer aux lois de l'UE.

Le principal problème concerne les restrictions sur les API. Actuellement, de nombreux fournisseurs de cloud américains ne restreignent pas l'accès aux modèles d'API, en dehors des listes d'attente que les fournisseurs s'efforcent de combler. Un programmeur à domicile ou un inventeur dans son garage peut accéder aux dernières technologies à un prix raisonnable. Sous les restrictions de la loi sur l'IA, l'accès aux API devient suffisamment compliqué pour être limité aux clients de niveau entreprise.

Ce que veut l'UE va à l'encontre de ce que demande la FTC. Pour qu'une entreprise américaine impose de telles restrictions aux États-Unis, cela soulèverait de nombreux problèmes de concurrence. Les coûts de formation des modèles limitent leur disponibilité aux acteurs très capitalisés. La FTC a été très claire en disant qu'elle ne veut pas voir se reproduire la situation d'Amazon, où une plus grande entreprise utilise sa position pour s'approprier la majeure partie des bénéfices - au détriment des plus petits partenaires. Agir de la manière recherchée par la loi sur l'IA soulèverait d'importants problèmes de concurrence pour les entreprises américaines.

En dehors des dispositions antitrust, la sanction de l'innovation par la loi sur l'IA représente un point de conflit. Pour les acteurs américains, trouver un nouveau moyen d'utiliser un logiciel pour gagner de l'argent est une bonne chose. Selon la loi de l'UE, trouver un nouveau moyen d'utiliser un logiciel annule la certification de sécurité et nécessite un nouveau processus de licence. Les désincitations à l'innovation sont susceptibles de créer des frictions étant donné la portée extraterritoriale de la loi.

Enfin, les dispositions sur les logiciels open source posent un problème majeur. La loi sur l'IA considère les développeurs open source travaillant sur des modèles fondamentaux ou avec ceux-ci comme des acteurs néfastes. Les développeurs et, apparemment, les distributeurs sont responsables de la diffusion de modèles fondamentaux non autorisés, ainsi que de codes améliorant apparemment les modèles fondamentaux. Pour toutes les autres formes d'apprentissage automatique open source, la responsabilité de la licence incombe à la personne qui déploie le système.

Tenter de sanctionner certaines parties de l'écosystème technologique est une mauvaise idée. Les développeurs open source ne réagiront probablement pas bien à l'idée qu'un gouvernement leur dise qu'ils ne peuvent pas programmer quelque chose, surtout si le gouvernement n'est pas le leur. De plus, que se passe-t-il si GitHub et les différents "co-pilotes" disent simplement que l'Europe est trop difficile à gérer et ferment l'accès ? Cela pourrait avoir des répercussions qui n'ont pas été suffisamment réfléchies.

Il existe donc de nombreux points de conflit potentiels entre la loi sur l'IA de l'UE et le droit américain, notamment en ce qui concerne la portée extraterritoriale, les restrictions sur les API, les problèmes de concurrence, les obstacles à l'innovation et les dispositions sur les logiciels open source. 

Ces points de friction peuvent entraîner des conflits juridiques et des différences d'approche réglementaire entre les deux juridictions.

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La loi sur l'intelligence artificielle (IA) de l'Union européenne (UE) et le droit américain peuvent entraîner plusieurs points de conflit potentiels en raison de leurs différences fondamentales en matière de réglementation de l'IA. Ces points de friction peuvent donner lieu à des conflits juridiques et à des divergences d'approche réglementaire entre les deux juridictions. 


Voici quelques-uns des points de conflit les plus importants :


Portée extraterritoriale : La loi sur l'IA de l'UE vise à réglementer toutes les entreprises, qu'elles soient basées dans l'UE ou non, qui fournissent des produits ou des services d'IA sur le marché européen. Cela signifie que les entreprises américaines qui opèrent en Europe doivent se conformer à ces réglementations, même si elles sont régies par le droit américain, ce qui peut entraîner des conflits de juridiction.

Restrictions sur les API : Les États-Unis ont une approche plus libérale en ce qui concerne l'accès aux interfaces de programmation d'application (API) et à l'échange de données. En revanche, la loi sur l'IA de l'UE impose des restrictions strictes sur l'accès aux API et exige une transparence accrue pour l'utilisation des données. Cela peut entraîner des difficultés pour les entreprises américaines qui souhaitent opérer en Europe tout en respectant ces réglementations.

Problèmes de concurrence : Les réglementations de l'UE et des États-Unis en matière de concurrence peuvent différer. La loi sur l'IA de l'UE vise à prévenir les pratiques anticoncurrentielles dans le domaine de l'IA, en mettant l'accent sur la prévention de la concentration excessive du pouvoir. En revanche, le droit américain peut avoir une approche différente en matière de réglementation de la concurrence, ce qui peut entraîner des conflits potentiels dans la manière dont les entreprises sont réglementées et surveillées.

Obstacles à l'innovation : Les réglementations plus strictes de l'UE en matière d'IA peuvent être perçues comme des obstacles à l'innovation par les entreprises américaines. Les réglementations plus souples aux États-Unis peuvent permettre aux entreprises d'explorer et de développer de nouvelles technologies plus rapidement, tandis que les réglementations plus strictes de l'UE peuvent ralentir ce processus. Cela peut créer des disparités dans le rythme de l'innovation entre les deux juridictions.

Dispositions sur les logiciels open source : L'UE encourage l'utilisation de logiciels open source dans le domaine de l'IA, ce qui peut entraîner une plus grande collaboration et une plus grande transparence. En revanche, les États-Unis peuvent avoir des réglementations différentes en matière de logiciels open source, ce qui peut entraîner des divergences d'approche dans la manière dont les entreprises développent et utilisent des technologies d'IA.

Ces points de conflit potentiels entre la loi sur l'IA de l'UE et le droit américain soulignent les différences d'approche réglementaire entre les deux juridictions. Ils peuvent conduire à des conflits juridiques, à des incertitudes pour les entreprises opérant dans les deux marchés et à des obstacles à la coopération internationale en matière d'IA. 

Pour atténuer ces différences, il peut être nécessaire de trouver des mécanismes de coopération et de dialogue entre l'UE et les États-Unis pour harmoniser les réglementations et favoriser une approche plus cohérente dans le domaine de l'IA.


Voici plusieurs mécanismes de coopération et de dialogue entre l'UE et les États-Unis pour atténuer les différences et favoriser une approche plus cohérente dans le domaine de l'IA. 


Voici quelques options possibles :

Accord bilatéral sur l'IA : L'UE et les États-Unis pourraient négocier un accord spécifique sur la coopération en matière d'IA. Cet accord pourrait aborder les points de conflit potentiels entre les réglementations respectives et chercher à harmoniser les approches réglementaires. Il pourrait également prévoir des mécanismes de consultation régulière pour discuter des développements technologiques et des réglementations émergentes.

Forum de coopération réglementaire : La mise en place d'un forum de coopération réglementaire entre l'UE et les États-Unis permettrait aux autorités compétentes des deux côtés de discuter des réglementations en matière d'IA, d'échanger des bonnes pratiques et de coordonner les approches réglementaires. Un tel forum favoriserait la transparence, la compréhension mutuelle et l'alignement des réglementations dans la mesure du possible.

Partage d'informations et de bonnes pratiques : Les autorités réglementaires de l'UE et des États-Unis pourraient collaborer en partageant des informations et des bonnes pratiques concernant la réglementation de l'IA. Cela permettrait d'identifier les divergences et les convergences, d'apprendre des expériences des uns et des autres, et de travailler vers une approche plus cohérente.

Initiatives de recherche conjointes : L'UE et les États-Unis pourraient lancer des initiatives de recherche conjointes dans le domaine de l'IA. Ces collaborations scientifiques permettraient de renforcer les liens entre les chercheurs et les experts des deux côtés de l'Atlantique, de promouvoir l'échange d'idées et de contribuer à une meilleure compréhension des enjeux réglementaires.

Coopération dans les organisations internationales : L'UE et les États-Unis peuvent également travailler ensemble au sein d'organisations internationales telles que l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ou les Nations Unies pour développer des normes et des lignes directrices communes en matière d'IA. Une approche coordonnée au niveau international faciliterait l'harmonisation des réglementations et éviterait les divergences excessives.



Il est important de noter que la mise en place de ces mécanismes de coopération nécessite certainement une volonté politique et une collaboration active des deux parties. 

L'objectif serait peut-être de trouver un équilibre entre la protection des intérêts nationaux, la promotion de l'innovation et la garantie d'une utilisation éthique et responsable de l'IA.





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